Les chefs de police préparent le terrain. Leur objectif : convaincre le gouvernement fédéral de permettre, avec l’approbation d’un juge, l’accès aux mots de passe de Canadiens qui font l’objet d’une enquête criminelle.
« Les dispositions qui sont dans le Code criminel en matière de technologie datent du téléphone à cadran », fait remarquer le président de l’Association canadienne des chefs de police, Mario Harel.
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