Cscience IA – plateforme d’information consacrée à l’actualité de la recherche et de la formation en Intelligence artificielle au Québec – propose dans cet article une entrevue avec Nicolas Vermeys – directeur adjoint du Laboratoire de cyberjustice – qui revient sur l’impact des preuves virtuelles dans le système de justice.
Dans une étude réalisée en 2019, Nicolas Vermeys y constate la prolifération des types de fichiers informatiques utilisés autant par les citoyens que les juristes, avocats et juges de ce monde. C’est plus de 26 000 formats de fichiers qui évoluent dans l’univers virtuel. Il ne s’agit pas non plus de documents anodins. La preuve est un élément déterminant dans l’issue d’un litige, autant de matériel alléchant pour malfaiteurs branchés. “Quand on pense à la preuve”, explique Nicolas Vermeys, vice-doyen et professeur agrégé à la Faculté de droit, à l’Université de Montréal, “on s’appuie sur trois piliers: la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité.”
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Ce contenu a été mis à jour le 15 octobre 2020 à 9 h 25 min.